Évangile selon saint Marc chapitre 6,30-34.
Jésus a envoyé ses apôtres en mission. Ils reviennent tout joyeux mais épuisés après avoir proclamé la venue du royaume, après avoir chassé les démons, fait des onctions d’huile pour guérir les malades.
Jésus en bon berger se préoccupe aussi de ses amis. Il veut qu’ils se reposent, il veut les écarter des personnes qui demandent leurs enseignements et guérisons et qui ne leur laissent même pas le temps de manger.
Qui n’a pas fait cette expérience, chez soi ou au travail ? Être sollicité d’un peu partout, où quand vous vous apprêtez enfin à vous asseoir sur le canapé après une journée harassante: “-Maman, Papa vient m’aider…”! . Combien de parents font tous les jours cette expérience ! Combien de personnes au travail sont sollicitées à tout moment pour résoudre toute situation !
Le Seigneur nous dit aujourd’hui, « Venez vous-même à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu ». Saurons-nous écouter cet appel?
Comment? en prenant davantage de temps pour prier? Des temps de silence intérieur, extérieur. En partant faire une retraite? Peut-être aussi en prenant tout simplement du repos par de la détente, du sommeil à rattraper, une alimentation plus saine?
Oui Jésus souhaite un bon équilibre pour ses apôtres et pour nous aussi.
Un ami me disait avec humour : “- pour faire un bon moine il faut : un bon lit, une bonne table” Je pense que pour faire un bon apôtre il ne faut pas négliger cela aussi.
Saurons-nous mettre à profit chaque petit temps libre pour nous ressourcer en Jésus?
Les apôtres ont-ils su profiter du voyage en barque pour se reposer?
Parce que le travail n’a pas de fin et il n’attend pas! La foule les suit, elle s’impose et avec elle l’urgence de la mission!
Et Jésus -“est saisi de pitié, pris au entrailles, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.”
Même sur notre temps de repos, de vacances, nous trouverons sur notre route des personnes affamées, assoiffées de connaitre Dieu. (Même si la notion de Dieu leur est étrangère)
Des personnes livrées aux discours en tout genre de notre monde un peu déboussolé et prêtes à suivre ceux qui, tels les misérables bergers dénoncés par le prophète Jérémie, font miroiter toutes sortes de promesses qui se révèlent parfois bien amères.
Même en vacances, saurons-nous remettre le tablier de service et emboîter le pas au Bon Berger, être disponible pour toujours et encore annoncer la Bonne Nouvelle?
N’oublions pas que nous sommes parfois brebis, parfois berger, parfois action, parfois prière, parfois chantant, parfois silence, parfois forts et parfois faibles. Mais il y a une chose dont nous sommes sûrs :
En ce temps- là, les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné.
Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. »
De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger.
Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart.
Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux.
En débarquant, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
Jésus a envoyé ses apôtres en mission. Ils reviennent tout joyeux mais épuisés après avoir proclamé la venue du royaume, après avoir chassé les démons, fait des onctions d’huile pour guérir les malades.
Jésus en bon berger se préoccupe aussi de ses amis. Il veut qu’ils se reposent, il veut les écarter des personnes qui demandent leurs enseignements et guérisons et qui ne leur laissent même pas le temps de manger.
Qui n’a pas fait cette expérience, chez soi ou au travail ? Être sollicité d’un peu partout, où quand vous vous apprêtez enfin à vous asseoir sur le canapé après une journée harassante: “-Maman, Papa vient m’aider…”! . Combien de parents font tous les jours cette expérience ! Combien de personnes au travail sont sollicitées à tout moment pour résoudre toute situation !
Le Seigneur nous dit aujourd’hui, « Venez vous-même à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu ». Saurons-nous écouter cet appel?
Comment? en prenant davantage de temps pour prier? Des temps de silence intérieur, extérieur. En partant faire une retraite? Peut-être aussi en prenant tout simplement du repos par de la détente, du sommeil à rattraper, une alimentation plus saine?
Oui Jésus souhaite un bon équilibre pour ses apôtres et pour nous aussi.
Un ami me disait avec humour : “- pour faire un bon moine il faut : un bon lit, une bonne table” Je pense que pour faire un bon apôtre il ne faut pas négliger cela aussi.
Saurons-nous mettre à profit chaque petit temps libre pour nous ressourcer en Jésus?
Les apôtres ont-ils su profiter du voyage en barque pour se reposer?
Parce que le travail n’a pas de fin et il n’attend pas! La foule les suit, elle s’impose et avec elle l’urgence de la mission!
Et Jésus -“est saisi de pitié, pris au entrailles, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.”
Même sur notre temps de repos, de vacances, nous trouverons sur notre route des personnes affamées, assoiffées de connaitre Dieu. (Même si la notion de Dieu leur est étrangère)
Des personnes livrées aux discours en tout genre de notre monde un peu déboussolé et prêtes à suivre ceux qui, tels les misérables bergers dénoncés par le prophète Jérémie, font miroiter toutes sortes de promesses qui se révèlent parfois bien amères.
Même en vacances, saurons-nous remettre le tablier de service et emboîter le pas au Bon Berger, être disponible pour toujours et encore annoncer la Bonne Nouvelle?
N’oublions pas que nous sommes parfois brebis, parfois berger, parfois action, parfois prière, parfois chantant, parfois silence, parfois forts et parfois faibles. Mais il y a une chose dont nous sommes sûrs :
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
( Ps 22, 1)
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