Pourquoi AUX 2 TABLES? parce que l'homme ne vit pas que de pain....

mardi 29 novembre 2016

Crème de lentilles corail.



Pour + où - 4 personnes.

1 oignon
3 carottes
1 gousse d'ail
180 gr de lentilles corail
1000 gr d'eau
1 cube de bouillon de volaille
40 gr de concentré tomates
1 c à c sel
poivre
60-100 gr de crème liquide (+ 1 c à s de mascarpone, facultatif)

Mettre dans le bol l'oignon coupé en deux, les carottes coupées en tronçons et la gousse d'ail, mixer 5 sec / vitesse 5

Ajouter les lentilles rincées avec le reste des ingrédients sauf la crème, et programmer 25 mn / 100° / vitesse 1


 Pour terminer cette crème 2 possibilités:

1- A la sonnerie, ajouter la crème et mixer 1 mn /vitesse 10

2- A la sonnerie, ne pas mettre la crème, mixer 1 mn /vitesse 10. Dans le bol du Thermomix bien propre, et bien froid mettre la crème, le mascarpone et le fouet. Monter la crème en chantilly en Vit4. Le temps va varier entre 2 et 4 minutes selon la qualité de la crème. Le mascarpone apporte de la tenue et une facilité à la crème pour monter.
former avec une cuillère à soupe une quenelle de crème et la poser délicatement sur l'assiette de crème de lentilles corail. 

Remarques:
- Cette crème de lentille est assez épaisse. Rien ne vous empêche de mettre un peu plus d'eau selon vos goûts.

- Vous pouvez aussi ajouter des épices soit directement dans le potage, soit dans la crème chantilly, soit dessus. Selon vos goûts utiliser la cannelle, le curry, le cumin....





mardi 22 novembre 2016

Potée de courge aux lentilles



Quand les envies ne correspondent pas ce que l'on a dans ses placards ou son frigo, on s'adapte. Pas de petit salé ou de saucisse, alors si on associait les lentilles avec cette belle tranche de courge musquée?
Et les protéines végétales des lentilles valent largement celles de la viande!...


Pour 4 personnes en accompagnement  
Servir bien chaud.

200 gr. de lentilles vertes
600 g d'eau
600/800 g de courge en cubes 
200 g d'eau + 1 cube de bouillon de légume
1 à 2 gousses d'ail pressées 
100 g de crème friche (ou soja/amande)
Ciboulette 
50 gr. de formage râpé

Mettre 200 g d'eau dans le bol du TM avec le cube de bouillon de légume. 
Faire chauffer 5m/100°/Vit1
Pendant ce temps éplucher (à l'aide d'un économe) et couper la courge en morceaux de la taille d'une bouchée.
Faire dorer dans une poêle type wok les cubes de courge avec une noisette de beurre. Remuer de temps en temps pour une cuisson homogène des morceaux. 
Mouiller avec le bouillon obtenu du TM. Cuire à petit bouillon, à couvert, la courge jusqu'à ce qu'elle soit "al dente" environ: 25 mn 
Pendant ce temps mettre 600 g d'eau dans le bol du TM avec les lentilles. 
Programmer 30/35mn/100°/Vit1,5
Vérifier la cuisson des lentilles et les égoutter.
Verser les lentilles sur les cubes de courges qui doivent être moelleux. Le bouillon est quasiment tout évaporé)  

Ajouter l'ail et la crème, mélanger, réchauffer brièvement le tout et assaisonner. 
Saupoudrer de ciboulette et de fromage avant de servir.

dimanche 20 novembre 2016

Solennité du Christ, Roi de l'univers.


Il est digne, l'Agneau qui a été immolé, de recevoir puissance, divinité, sagesse, force, et honneur.
A lui, gloire et puissance dans les siècles des siècles!

Apocalypse 5,12


Christ est Roi (Richard Picotin)

samedi 19 novembre 2016

Tarte lombarde.


Le gorgonzola finement persillé, apporte une pointe d'originalité à cette tarte toute simple aux poireaux.

1 pâte brisée ou feuilletée pur beurre.
4 blancs de poireaux
2 tomates 
80 g de vin blanc de cuisine
3 œufs
200 g de crème fraîche
150 de gorgonzola
Sel, poivre, baies rose 

Couper les blancs de poireaux en petits morceaux, les faire revenir à la poêle dans un peu d'huile d'olive une dizaine de minutes en remuant de temps en temps. Mouiller avec le vin blanc. Laisser cuire à petit feu quelques minutes. Rajouter les tomates coupées en petits morceaux, cuire doucement jusqu'à évaporation du liquide.
Préchauffer le four à 200°
Dans un petit saladier mélanger les œufs, la crème, sel poivre. 


Mettre la pâte dans un moule. Étaler les poireaux-tomates. Verser dessus la crème aux œufs.
Couper des tranches de gorgonzola et les disposer sur la tarte. 
Décorer avec quelques grains de baies roses. 
Quand le four est bien chaud, enfourner pour 30 minutes. 





Un peu d'histoire:


Le Gorgonzola est un fromage à pâte persillé Italien originaire de la région de Milan en Lombardie. Le village de Gorgonzola constituait jadis une étape importante pour les troupeaux de vache en transhumance. Après avoir marché pendant de grandes journées, les vaches étaient fatiguées et le stationnement (qui se dit Stracco en italien), les a obligés à fabriquer sur place un véritable centre de transformation du lait, ce qui a donné naissance au terme Stracchino di Gorgonzola, ensuite simplifié en Gorgonzola.

jeudi 17 novembre 2016

Sainte Elisabeth de Hongrie

Sainte Elisabeth de Hongrie. Sandor Liezen-Mayeur. 
Galerie Nationale de Hongrie, Budapest.

Sainte Patronne du Tiers Ordre Franciscain

En cherchant des biographies sur ma Sainte patronne, j'ai trouvé celle écrite par Benoit XVI, donné au cours d'une audience générale, Place Saint Pierre le 20/10/10.

Je vous la livre agrémentée de quelques portraits de Sainte Elisabeth.

  * * *

Chers frères et sœurs,

Aujourd’hui, je voudrais vous parler de l’une des femmes du Moyen Age ayant suscité le plus d’admiration; il s’agit de sainte Elisabeth de Hongrie, appelée également Elisabeth de Thuringe.
Elle naquit en 1207; les historiens débattent sur son lieu de naissance. Son père était André II, riche et puissant roi de Hongrie qui, pour renforcer les liens politiques, avait épousé la comtesse allemande Gertrude d’Andechs-Merania, sœur de sainte Edwige, elle-même épouse du duc de Silésie. 

Elisabeth vécut à la cour de Hongrie les quatre premières années de son enfance uniquement, avec sa sœur et ses trois frères. Elle aimait le jeu, la musique et la danse; elle récitait fidèlement ses prières, et manifestait déjà une attention particulière pour les pauvres, qu’elle aidait au moyen d’une bonne parole ou d’un geste affectueux.

Son enfance heureuse fut brusquement interrompue lorsque, de la lointaine Thuringe, arrivèrent des chevaliers pour la conduire à son nouveau domicile, en Allemagne centrale. Selon la coutume de l’époque, en effet, son père avait établi qu’Elisabeth devienne princesse de Thuringe. Le Landgrave ou comte de cette région était l’un des souverains les plus riches et influents d’Europe au début du XIIIe siècle, et son château était un centre de splendeur et de culture.

Mais derrière les fêtes et la gloire apparente se cachaient les ambitions des princes féodaux, souvent en guerre entre eux, et en conflit avec les autorités royales et impériales. Dans ce contexte, le Landgrave Herman accueillit bien volontiers les fiançailles entre son fils Louis et la princesse hongroise. 

Elisabeth quitta sa patrie pourvue d’une riche dot et d’une importante suite, composée notamment de ses demoiselles de compagnie personnelles, dont deux demeureront ses amies fidèles jusqu’à la fin. Ce sont elles qui nous ont laissé de précieuses informations sur l’enfance et la vie de la sainte.

Après un long voyage, ils arrivèrent à Eisenach, pour monter ensuite vers la forteresse de Wartburg, l’imposant château dominant la ville. C’est là que furent célébrées les fiançailles de Louis et Elisabeth.

Au cours des années qui suivirent, tandis que Louis apprenait le métier de chevalier, Elisabeth et ses compagnes étudiaient l’allemand, le français, le latin, la musique, la littérature et la broderie. Bien que les fiançailles aient été décidées pour des raisons politiques, entre les deux jeunes gens naquit un amour sincère, animé par la foi et le désir d’accomplir la volonté de Dieu.

A l’âge de 18 ans, Louis, après la mort de son père, commença à régner sur la Thuringe. Mais Elisabeth devint l’objet de critiques voilées, car sa façon de se comporter ne correspondait pas à la vie de la cour. Ainsi, la célébration du mariage se déroula elle aussi sans faste, et les dépenses pour le banquet furent en partie dévolues aux pauvres. 
Dans sa profonde sensibilité, Elisabeth voyait les contradictions entre la foi professée et la pratique chrétienne. Elle ne supportait pas les compromis. Un jour, en entrant dans l’église en la fête de l’Assomption, elle enleva sa couronne, la déposa devant la croix et demeura prostrée au sol, le visage couvert. Lorsque sa belle-mère lui reprocha son geste, elle répondit: 
«- Comment moi, misérable créature, puis-je continuer de porter une couronne de dignité terrestre, lorsque je vois mon Roi Jésus Christ couronné d’épines?». 



Elle se comportait devant Dieu comme envers ses sujets. Dans les Dépositions des quatre demoiselles de compagnie, nous trouvons ce témoignage: 

«- Elle ne consommait aucune nourriture sans s’assurer auparavant qu’elle provenait des propriétés et des biens légitimes de son époux. Tout en s’abstenant des biens procurés de façon illicite, elle se prodiguait pour dédommager ceux qui avaient subi une violence» (nn. 25 et 37). 

Un véritable exemple pour tous ceux qui occupent des rôles de guide: l’exercice de l’autorité, à tous les niveaux, doit être vécu comme un service à la justice et à la charité, dans la recherche constante du bien commun.
Sainte Élisabeth de Hongrie soignant un blessé
c/o Musée Boucher-de-Perthes  de Jules Avia ( 1879)
Elisabeth pratiquait assidûment les œuvres de miséricorde: elle donnait à boire et à manger à ceux qui frappaient à sa porte, elle procurait des vêtements, elle payait les dettes, elle prenait soin des malades et enterrait les morts. 
En descendant de son château, elle se rendait souvent avec ses servantes dans les maisons des pauvres, apportant du pain, de la viande, de la farine et d’autres aliments. Elle remettait la nourriture personnellement et contrôlait avec attention les vêtements et les lits des pauvres. 

Ce comportement fut rapporté à son mari, qui non seulement n’en fut pas ennuyé, mais qui répondit aux accusateurs: 
«- Tant qu’elle ne vend pas le château, j’en suis content!». 

C’est dans ce contexte que 
Ste Elisabeth de Hongrie
Claudius Lavergne
(1815-1887)

se situe le miracle du pain transformé en roses: alors qu’Elisabeth marchait sur la route avec son tablier rempli de pain pour les pauvres, elle rencontra son mari qui lui demanda ce qu’elle portait. Elle ouvrit son tablier et, au lieu du pain, apparurent des roses magnifiques. Ce symbole de charité est présent de nombreuses fois dans les représentations de sainte Elisabeth.

Son mariage fut profondément heureux: Elisabeth aidait son mari à élever ses qualités humaines à un niveau surnaturel, et lui, en échange, protégeait sa femme dans sa générosité envers les pauvres et dans ses pratiques religieuses. Toujours plus admiratif en raison de la foi profonde de son épouse, Louis, se référant à son attention envers les pauvres, lui dit: 

«- Chère Elisabeth, c’est le Christ que tu as lavé, nourri et dont tu as pris soin». 

Un témoignage clair de la façon dont la foi et l’amour envers Dieu et envers le prochain renforcent la vie familiale et rendent l’union matrimoniale encore plus profonde.

Le jeune couple trouva un soutien spirituel chez les frères mineurs, qui, à partir de 1222, se diffusèrent en Thuringe. Parmi eux, Elisabeth choisit le frère Roger (Rüdiger) comme directeur spirituel. Lorsqu’il lui raconta l’épisode de la conversion du jeune et riche marchand François d’Assise, Elisabeth s’enthousiasma encore plus sur son chemin de vie chrétienne. A partir de ce moment-là, elle fut encore davantage décidée à suivre le Christ pauvre et crucifié, présent chez les pauvres. 

Même lorsque son premier fils naquit, suivi de deux autres, notre sainte ne négligea jamais ses œuvres de charité. En outre, elle aida les frères mineurs à construire à Halberstadt un couvent, dont frère Roger devint le supérieur. La direction spirituelle d’Elisabeth passa, ainsi, à Conrad de Marbourg.

Une dure épreuve fut l’adieu à son mari, à la fin de juin 1227, lorsque Louis s’associa à la croisade de l’empereur Frédéric II, rappelant à sa femme qu’il s’agissait d’une tradition pour les souverains de Thuringe. Elisabeth répondit: 

«- Je ne te retiendrai pas. Je me suis entièrement donnée à Dieu et à présent je dois aussi te donner». 

Mais la fièvre décima les troupes et Louis tomba malade et mourut à Otrante, avant même d’embarquer, en septembre 1227, à l’âge de vingt-sept ans. 
Elisabeth, ayant appris la nouvelle, ressentit une telle souffrance qu’elle se retira dans la solitude, mais ensuite, fortifiée par la prière et réconfortée par l’espérance de le revoir au Ciel, elle recommença à s’intéresser aux affaires du royaume. 

Mais une autre épreuve l’attendait: son beau-frère usurpa le gouvernement de la Thuringe, se déclarant le véritable héritier de Louis et accusant Elisabeth d’être une femme pieuse incompétente pour gouverner. La jeune veuve, avec ses trois enfants, fut chassée du château de Wartburg et se mit à la recherche d'un lieu où trouver refuge. 
Seules deux de ses servantes demeurèrent à ses côtés, l'accompagnèrent et confièrent les trois enfants aux soins des amis de Louis. 


En voyageant de village en village, Elisabeth travaillait là où elle était accueillie, elle assistait les malades, elle filait et elle cousait. Au cours de ce calvaire supporté avec beaucoup de foi, avec patience et dévouement à Dieu, certains parents qui lui étaient restés fidèles et considéraient comme illégitimes le gouvernement de son beau-frère, réhabilitèrent son nom. 
Ainsi Elisabeth, au début de l'année 1228, put recevoir un revenu approprié pour se retirer dans le château de famille à Marbourg, où habitait aussi son directeur spirituel Conrad. C'est lui qui rapporta au Pape Grégoire IX le fait suivant: 

«- Le Vendredi saint de 1228, les mains posées sur l'autel dans la chapelle de sa ville de Eisenach, où elle avait accueilli les frères mineurs, en présence de plusieurs frères et de parents, Elisabeth renonça à sa propre volonté et à toutes les vanités du monde. Elle voulait renoncer aussi à toutes ses possessions, mais je l'en dissuadais par amour des pauvres. Peu après, elle construisit un hôpital, elle recueillit les malades et les invalides et elle servit à sa table les plus misérables et les plus abandonnés. L’ayant moi-même réprimandée à ce propos, Elisabeth répondit qu'elle recevait des pauvres une grâce spéciale et l’humilité» (Epistula magistri Conradi, 14-17).


Nous pouvons percevoir dans cette affirmation une certaine expérience mystique semblable à celle vécue par saint François: le Poverello d'Assise déclara en effet dans son testament, qu'en servant les lépreux, ce qui auparavant lui était amer fut transmué en douceur de l'âme et du corps (Testamentum, 1-3). 

La Charité de Sainte Élisabeth de Hongrie
École FRANÇAISE de la première moitié du XIXème siècle,
Elisabeth passa les trois dernières années de sa vie dans l'hôpital qu'elle avait fondé, servant les malades, veillant avec les mourants. Elle essayait toujours d'accomplir les services les plus humbles et les travaux répugnants. Elle devint ce que nous pourrions appeler aujourd'hui une femme consacrée dans le monde (soror in saeculo) et forma, avec d'autres amies, vêtues de gris, une communauté religieuse. 

Ce n'est pas par hasard qu'elle est la patronne du Tiers Ordre régulier de saint François et de l'Ordre franciscain séculier.

En novembre 1231, elle fut frappée par de fortes fièvres. Lorsque la nouvelle de sa maladie se propagea, une foule de gens accourut lui rendre visite. Après une dizaine de jours, elle demanda que les portes fussent fermées, pour demeurer seule avec Dieu. Dans la nuit du 17 novembre, elle s'endormit doucement dans le Seigneur. 


Vie de Sainte Elisabeth de Hongrie
Livre ancien 1880 - Mame et Fils Editeurs.

Les témoignages sur sa sainteté furent si nombreux qu’à peine quatre ans plus tard, le Pape Grégoire IX la proclama sainte et, la même année, fut consacrée la belle église construite en son honneur à Marbourg.


Chers frères et sœurs, dans la figure de sainte Elisabeth, nous voyons que la foi et l'amitié avec le Christ créent le sens de la justice, de l'égalité entre tous, des droits des autres et créent l'amour, la charité. Et de cette charité naît aussi l'espérance, la certitude que nous sommes aimés par le Christ et que l'amour du Christ nous attend et ainsi nous rend capables d'imiter le Christ et de voir le Christ dans les autres. Sainte Elisabeth nous invite à redécouvrir le Christ, à l'aimer, à avoir la foi et trouver ainsi la vraie justice et l'amour, ainsi que la joie d'être un jour plongés dans l'amour divin, dans la joie de l'éternité avec Dieu, Merci.
* * *

N’oublions pas le message de sainte Elisabeth : 

«- Nous avons l’obligation 
de rendre les gens heureux ».


mardi 15 novembre 2016

Panna Cotta coco-mangue.


Gardons les couleurs automnales, mais mettons un peu d'exotisme dans cette recette.

Panna Cotta:
200 g crème de coco
200 g de lait de coco
2 paquets sucre vanillé
30 g sucre en poudre
2,5 feuilles gélatine

Coulis de mangue:
350 g mangue surgelée, ou une belle mangue fraîche.
20 g sucre en poudre


Panna Cotta:

Faire tremper les feuilles de gélatine dans un récipient rempli d’eau froide pendant 10 min.
Pendant ce temps : mettre dans le bol la crème, le sucre vanillé et le sucre en poudre. 
Programmer 6 min/80°/Vit2.
A la sonnerie, ajouter la gélatine essorée, mixer 1 min/Vit4.
Répartir dans des petits ramequins (ou des petits pots en verre). Laisser refroidir et mettre au frigo pendant 3-4 heures.
Rincer le bol.



Coulis de mangue:

Si besoin, faire décongeler les fruits surgelés au micro-ondes en suivant les instructions du paquet.
Sinon éplucher et trancher la mangue pour récupérer la chair.
Mettre les morceaux de  fruit et le sucre dans le bol.
Mixer quelques sec /Vit7, puis programmer 
4 min/ 80°/Vit2.
Répartir le coulis sur les ramequins seulement lorsque la panna Cotta est bien prise. 


Remarque:
Il est possible d'utiliser de l'agar-agar à la place de la gélatine pour faire la Panna Cotta.
Il vous faudra mettre à chauffer dans le lait+crème 2 g de poudre d'agar-agar. Poursuivre normalement la recette, sans la gélatine, bien sûr!