Et tout particulièrement à toi ma petite Maman,
Comme ces roses,
Tu es devenue si fragile, si délicate.
Tes beaux yeux bleu sont devenus si lointains, comme sans espoir,
Tes longues et belles mains qui ne savent plus bercer, consoler,
cherchent encore une caresse.
Je voudrais par ces quelques fleurs, cueillies un jour de joie,
effacer toutes tes peurs,
qui étrangement, comme par un coup du sort,
restent accrochées à ta mémoire.
De nos rencontres,
je ne veux garder que ces étincelles de secondes où tu souris,
où impromptu, mon prénom jaillit de tes lèvres,
où tes mains furtivement serrent les miennes,
pour me dire encore : “Je t’aime”
Alors, penchée sur ton fauteuil, je te prends doucement dans mes bras, je ferme tendrement les yeux...
Et du fond de mon cœur, je sais qu’un jour, dans les cieux,
enfin, tu me reconnaîtras.
Commencera alors pour nous deux, une ronde parfumée d’éternelle JOIE!
Photos prises à Lyon dans la roseraie du parc de la Tête d'Or et sur le chemin du rosaire sous Notre Dame de Fourvière.
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